La librairie les Racines du Vent à Chevreuse organise une soirée autour de mon livre sur la Corée du Sud (informations ci-dessous): lectures, présentation, apéro.
Au plaisir de vous y croiser!…
Extraits de critiques
« Sur un pays dont l’étrangeté ne cesse d’être interrogée, la démarche de Benjamin Pelletier est singulière, et révélatrice. Cet itinéraire d’allers-retours constants entre son personnage de Candide en Corée et les étapes de sa propre révélation à lui-même constitue un portrait de la Corée du Sud que ne dénigreront pas les amoureux de ce pays complexe, éprouvant, poétique et désarmant. » Revue Keulmadang, septembre 2016
« Lire Benjamin Pelletier, c’est se glisser dans l’écriture d’un voyageur peu ordinaire. Parti un an enseigner le français à Séoul, il livre ses réflexions sur le pays au fil de vagabondages méditatifs qui restituent l’essence de choses simples. Étonnamment, son ignorance du coréen lui donne une autre forme d’acuité, lui permettant de voir au-delà des mots, de percevoir et de sentir. Il s’attache aux petites gens, décryptant les messages cachés et les codes subtils de la vie quotidienne, puis, peu à peu, glisse à des réflexions plus enlevées. » Le Monde diplomatique, juillet 2016
« Observateur tendre et amusé, Benjamin Pelletier, 41 ans, est spécialisé dans la formation interculturelle et l’écriture. Nul hasard alors que son récit d’immersion soit une fenêtre merveilleuse ouverte sur la culture coréenne. Des petites grands-mères reines des toits des immeubles avec leurs légumes séchés, aux employés de bureau, scarabées fourbus le soir venu, l’auteur dévoile un peuple qui vénère ses ancêtres, l’harmonie et les racines de ginseng. L’écriture magnifique et les saynètes croquignolettes emportent le lecteur. » Pèlerin, 21 juillet 2016
« Benjamin Pelletier remet les pendules à l’heure et ausculte la société coréenne en observateur sensible et empathique, illustrant la singularité du pays. Le « long-nez » donne des leçons de français à des comités de direction de multinationales (scène burlesque), s’abandonne à la contemplation des pierres-paysages dans lesquelles se lit l’harmonie entre l’homme et la nature, voit le sable jaune de Gobi envahir la ville, écrit une ode à la céramique céladon et se balade le long de la frontière, observant avec ces lunettes panoramiques à pièces un paysan nord-coréen poussant son bœuf et son soc. Dans son récit, les anecdotes donnent toujours corps à une réflexion subtile, à la manière d’un Nicolas Bouvier. » Le Figaro Littéraire, 17 mars 2016
« Ce beau récit à la fois grave et enjoué est un chant d’amour à un pays meurtri, que les envahisseurs ont toujours pris comme « un simple paillasson posé devant la Chine ». Avec une tasse de thé jaune à base de feuilles fermentées, pas besoin de madeleine de Proust! » Le Canard Enchaîné, 2 mars 2016
« Poétique pour peindre les paysages ou les hibiscus, l’écriture est précise et évocatrice, qu’il s’agisse d’histoire ou de cuisine. Anecdotes drolatiques et échos d’enfance parsèment agréablement le récit dépaysant de quatre saisons coréennes. Aussi précieux pour qui prépare un séjour touristique que pour qui préfère voyager en chambre avec un bon livre, ce journal intime et de vagabondage mêle avec bonheur information documentaire originale et introspection sensible. » Notes Bibliographiques, mars 2016
« Au moment où la Corée est l’invitée d’honneur du prochain Livre Paris, où le public français commence à se familiariser avec ses écrivains, quel meilleur guide, pour tenter de comprendre ce pays, qu’un jeune Français, Benjamin Pelletier ? Il a passé un an à Séoul, comme professeur à l’Alliance française, et nous en livre un récit sensible et drôle. » Livres Hebdo, 19 février 2016
Quelques suggestions de lecture:
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