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Chine tonique et gueules de bois – revue de presse

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Revue de presse des articles du mois de juin ayant attiré mon attention et alimenté certains articles du blog.

Expatriation

L’expatriation reste encore trop largement considérée à sens unique par les entreprises. La prise en compte du retour d’expatriation – la repatriation – est très peu, voire pas du tout, prise en compte. C’est ce qui ressort d’une étude BVA-Berlitz Consulting menée dans différents pays exportateurs de talents. Une synthèse des résultats est disponible en suivant ce lien (pdf). Ils sont détaillés dans deux articles, Expatriation, l’épreuve du retour dans L’Expansion et Expatriation : mieux vaut bien préparer son retour professionnel dans Le Figaro.

Voici les difficultés principales auxquelles se confrontent les expatriés en termes d’adaptation suite à leur retour de mission :


Par ailleurs, l’étude fait apparaître une réelle déception des expatriés dont l’expérience acquise à l’étranger est peu reconnue par leur entreprise. 28% d’entre eux ont bénéficié d’une prime à leur retour. 42% vivent difficilement la période de réadaptation, ce qui en poussent 47% à changer par la suite d’employeur. Cette proportion s’élève à 62% pour les expatriés originaires d’Europe de l’Ouest.

Ces mauvais résultats s’accordent avec ceux de l’enquête menée par GMAC Global Relocation Services en 2008 qui montrait que 27% des expatriés de retour quittaient leur entreprise dans l’année suivant leur retour, 25% entre la première et la deuxième année et 23% après deux ans. Il est plus qu’urgent de développer une approche professionnelle du retour d’expatriation sous peine de perdre des talents et des retours d’expérience souvent difficilement remplaçables.

Car il ne faut pas perdre de vue que les expatriés sont une ressource précieuse non seulement pour leur entreprise, mais aussi pour leur pays d’origine. Une ressource qu’il serait dommageable de ne pas valoriser lors de leur retour de mission mais encore plus lorsqu’ils sont en mission. C’est ainsi qu’un article de The Globe and Mail Canada needs to engage its citizens living abroad appelle à une prise en compte beaucoup plus stratégique du réseau de la diaspora canadienne dans le monde. Au lieu de toujours considérer négativement les départs des Canadiens comme une fuite des cerveaux, autant chercher à valoriser cette ressource, entretenir les contacts avec les expatriés, développer une logique de réseau et de recueil d’informations :

« De plus, les Canadiens expatriés apportent de la valeur de nombreuses et différentes façons. Ils sont une excellente source d’information sur des réseaux utiles et des contacts d’affaires. Ils peuvent faciliter les partenariats et les échanges, tisser des liens d’affaires entre les pays et être une source d’investissement. »

La problématique de la gestion de l’expatriation n’est plus réservée aux seuls pays occidentaux. Avec la montée en puissance des économies émergentes, d’autres pays découvrent les défis et les difficultés d’expatrier des talents. C’est le cas avec la Chine dont les expatriés chinois aux quatre coins du monde font l’expérience d’une dimension que les Occidentaux ne connaissent plus depuis longtemps : celle d’être des pionniers. Rappelons au passage qu’en 2010 les entreprises chinoises ont investi à l’étranger 59 milliards de dollars contre 900 millions en 1990, d’où un boom depuis quelques années de l’expatriation de Chinois vers des destinations complètement inédites pour eux.

Vous lirez ainsi le très intéressant reportage du Financial Times Global pioneers of ‘China Inc’ qui met en évidence cette vocation de pionnier qui pousse de nombreux Chinois à partir à l’aventure en acceptant des sacrifices et des conditions d’expatriation que nul Occidental ne pourrait accepter. Par exemple, sauf dans quelques cas exceptionnels, il est encore exclu de partir en mission avec sa famille. La préparation est sommaire, même si l’on note une volonté de développer la sensibilité interculturelle. Mais ces efforts se heurtent à l’expertise des formateurs chinois qui se limite souvent aux marchés occidentaux. Voyez ainsi le témoignage d’un cadre du groupe chinois ZTE :

« Quand on nous a envoyés en Afghanistan, les cours sur la façon d’utiliser la fourchette et le couteau étaient complètement inutiles. Il était crucial pour survivre de comprendre qu’il ne fallait pas traîner sur un toit la poitrine nue juste pour se rafraîchir : les voisins vous auraient abattu, pensant que vous aviez l’intention d’offenser leurs femmes. »

Enfin, tout expatrié en Grande-Bretagne devrait lire cette note dans The Economist : Euphemistically speaking qui recense avec humour les différents euphémismes utilisés par les Britanniques, ainsi que leur signification réelle. En voici trois exemples :

Quand le Britannique dit : “That’s not bad”
Il veut dire en fait : “That’s good or very good”
Alors qu’on comprend : “That’s poor or mediocre”

Quand le Britannique dit : “QUITE good” (en insistant sur “quite”)
Il veut dire en fait : “A bit disappointing”
Alors qu’on comprend : “Quite good”

Quand le Britannique dit : “quite GOOD” (en insistant sur “good “)
Il veut dire en fait: “Excellent”
Alors qu’on comprend : “Quite good”

Jeux d’influence

Exercer de l’influence, ce n’est pas seulement diffuser des informations favorables à ses intérêts et susciter l’adhésion à ces informations, c’est aussi entretenir le doute et répandre l’ignorance dans un sens favorable à ses intérêts. Un article de Slate L’ignorance : des recettes pour la produire, l’entretenir, la diffuser fait le point sur la « science de l’ignorance » – l’agnotologie – qui étudie comment se répandent le doute et l’ignorance dans nos sociétés pour le bénéfice de groupes de pression tels que, par exemple, les cigarettiers américains à propos des méfaits du tabac ou certaines multinationales à propos du réchauffement climatique.

Agiter le spectre de l’ignorance savamment entretenue peut, a contrario, se révéler être une formidable arme de propagande politique. Le média officiel chinois Le Quotidien du Peuple a mis en ligne une contribution en français sous le titre Comment les élites occidentales cachent la grandeur de la Chine à leurs peuples, qui vise à démontrer que la Chine est victime d’un complot, notamment de la part des Français, pour occulter sa grandeur aux opinions publiques. Et si – plutôt que le résultat d’un complot des Français – cette ignorance à propos de la Chine était une réalité de leur part ? Plutôt qu’un déni, une méconnaissance ? Plutôt qu’une machination, un simple manque d’ouverture et de curiosité ?

Se faire connaître en utilisant les ressorts de la culture populaire plutôt que du terrorisme, telle est l’ambition du Hamas qui a décidé d’utiliser le cinéma comme arme de propagande. Le mouvement islamique a ainsi réalisé un long-métrage, L’Admirateur du fusil, qui glorifie la résistance palestinienne avec cascades, courses poursuites, explosions et un héros qui n’a peur de rien. Le producteur du film montre bien en quoi un film de divertissement n’a pas pour objectif premier de divertir mais d’influencer l’opinion : « A travers le cinéma, nous essayons de changer la réalité, d’affirmer nos droits et de prouver au monde entier l’humanité des Palestiniens. »

Comment la France a perdu l’Afrique au profit des Etats-Unis, c’est la traduction en français du titre d’un article de The Atlantic Monthly qui dresse un état des lieux alarmant de la perte d’influence de la France dans les pays d’Afrique francophone. Pour l’auteur, cette évolution gigantesque (« a monumental shift ») est notamment marquée par l’attraction de plus en plus grande des Etats-Unis auprès des Africains afin d’y faire des études et des affaires. Outre des raisons géopolitiques, il voit dans ce changement des raisons culturelles. Il mentionne les témoignages d’Africains ayant étudié en France mais qui se heurtent professionnellement aux plafonds de verre et au racisme de la société française. Il y a une profonde lassitude vis-à-vis de la France qui n’offre pas les opportunités qu’elle promet.

Est-ce que, suite aux révolutions arabes, on ne va pas assister à un phénomène identique de perte durable d’influence au Maghreb ? La question doit être posée quand on prend conscience de l’activisme des hommes d’affaires américains pour offrir une alternative aux traditionnels partenaires français. L’article Tunisie : les Américains passent à l’action rend ainsi compte de la récente visite d’une délégation d’hommes d’affaires américains à l’initiative du sénateur John McCain. Parmi les membres de cette délégation : Jeffrey Immelt, Pdg de General Electric, Jeffrey Johnson, président de Boeing Moyen-Orient, Curtis Ferguson, président de Coca-Cola Mena, James Fitterling, vice-président de Dow Chimie et président de Dow Hydrocarbons, Edwin Fuller, président de Marriott International, David Welsh, président pour l’Europe, l’Afrique et le Moyen Orient à Bechtel Corporation.

L’influence se mesure également par la capacité à être attractif dans un contexte culturel éloigné de sa propre zone de confort culturel. Les Coréens sont en train de passer maîtres en la matière. Le récent concert au Zénith de groupes pop coréens (cf. dans Le Monde La vague pop coréenne gagne l’Europe) en est la démonstration éclatante. Loin d’être un simple divertissement, il s’agit d’une stratégie de soft power dans la mesure où ces concerts ont lieu « avec le soutien actif des autorités sud-coréennes, qui voient là un moyen de vendre une image positive et dynamique du pays ».

Kim Young-min, le PDG de la maison de production qui possède une véritable pouponnière de groupes pop à exporter, explique comment fonctionne cette industrie où rien n’est laissé au hasard :

« En imaginant les concepts de groupes, nous pensons aux jeunes du monde entier. Durant cette formation, nous faisons tout pour maximiser le trait dominant du caractère de chacun. Nous imaginons les concepts à concrétiser en environ deux ans. Nous observons la vingtaine d’étudiants en formation. Nous cherchons celui ou celle qui correspond le mieux à l’idée et qui a la capacité de s’inscrire dans la tendance du moment. Si nous voulons faire un groupe, nous déterminons qui peut aller avec qui. »

Enjeux interculturels, enjeux économiques

Le magazine de Paristech a mis en ligne un article très instructif sur le succès du guide Michelin au Japon : La mondialisation vaut le détour, ou comment le guide Michelin s’est imposé au Japon. Quand le Michelin a été lancé au Japon en 2008, près de 100 000 exemplaires ont été vendus dès le premier jour. Or, le pari était loin d’être gagné d’avance. En effet, le Japon n’a aucune tradition de guides de voyage ni de système de classification. La raison est culturelle : « Les Japonais se défient en effet de tout jugement subjectif qui risque de mettre en cause les personnes ».

Si le Michelin a su s’imposer, c’est donc en restant à distance du jugement de valeur et en mettant en avant son image de marque en tant que guide réputé, reconnu, ayant une longue histoire, et la notion de qualité comme marqueur de son identité et de son domaine d’expertise. Marque et qualité sont deux éléments d’adhésion pour les Japonais, pas le jugement de valeur :

« La crédibilité du guide, son extériorité par rapport au système de jugement japonais, ont permis de passer un obstacle considérable en introduisant une forme d’objectivité dans un domaine perçu comme subjectif. L’enjeu était de mettre à distance le juge et le jugé, une distance que les Japonais ne savent guère établir par eux-mêmes mais dont ils ressentent fortement le besoin. »

Le succès historique de la Chinoise Li Na à Roland Garros pourrait entraîner en Chine des conséquences inattendues en termes de réflexion sur la gestion des entreprises publiques. Dans Li Na : un modèle économique à suivre, un article que Courrier International a traduit d’un quotidien taïwanais, on apprend combien la championne de tennis détonne dans le monde du sport chinois.

Alors que ce dernier est géré comme une entreprise publique par l’Etat et que les sportifs sont comme des fonctionnaires qui obéissent aux ordres de leur hiérarchie et qui reversent une partie de leurs gains à l’Etat, Li Na s’est marginalisée en rompant avec ce système pour décider elle-même à quelle compétition elle souhaite participer et pour gérer elle-même ses gains. D’ailleurs, les Chinois s’étonnent qu’après une victoire « elle se contente de remercier son mari et ses fans ».

N’y aurait-il pas dans cette indépendance une des clés de sa réussite ? Et les entreprises publiques chinoises ne devraient-elles pas pouvoir bénéficier d’un mode de gestion moins autoritaire ? Apparemment, la victoire de Li Na oblige le monde économique chinois à se poser des questions relativement impertinentes. Ceci dit, il serait intéressant de revenir sur le parcours sportif de la Chinoise car elle a dû accomplir une rupture culturelle pour parvenir à ses fins. Cette rupture n’est pas sans rappeler le choc culturel imposé par l’entraîneur hollandais Guus Hiddink aux joueurs de la sélection nationale coréenne pour les préparer à la Coupe du monde de football de 2002 (voir sur ce blog La thérapie du choc culturel).

Enjeux interculturels, enjeux économiques en Suède dont l’industrie automobile passe progressivement sous pavillon chinois. Alors que l’an dernier, le constructeur chinois Geely avait racheté Volvo à Ford pour environ 1,5 milliard de dollars, c’est maintenant au tour de Saab d’annoncer un partenariat de 245 millions d’euros d’investissements conclu avec deux entreprises chinoises, le distributeur automobile Pang Da et le constructeur Zhejiang Youngman Lotus Automobile. Les deux entreprises chinoises détiendront la majorité du capital du constructeur suédois.

Saab va-t-il connaître le même destin que Volvo ? Dans le Wall Street Journal, l’article Chinese Begin Volvo Overhaul (Les Chinois commencent à restructurer Volvo) pourrait donner un avant-goût de ce qui l’attend. Depuis l’acquisition de Volvo par Geely il y a dix mois, il a fallu que Suédois et Chinois concilient leurs visions de la marque et leurs styles de management. Alors que les Chinois souhaitent que Volvo monte en gamme pour faire concurrence à BMW et Mercedes-Benz, les Suédois craignent que la réputation de Volvo en tant que constructeur de véhicules sûrs, familiaux et peu consommateurs de carburant, n’en pâtisse.

Le patron de Geely semble se moquer de ces préoccupations. Pour lui, les risques liés à la montée en gamme de Volvo ressemblent aux risques liés au tabac : c’est comme «  de produire des cigarettes : fumer est mauvais pour votre santé mais les entreprises de tabac produisent et vendent des cigarettes. La même chose est vraie avec Volvo ». Les Suédois apprécieront…

Les Chinois, eux, n’ont pas apprécié les débuts de leur nouveau partenariat. Au printemps de l’année dernière, alors qu’un accord préliminaire entre Geely et Ford, propriétaire de Volvo, venait d’être rendu public, 40 cadres de Geely ont fait le déplacement en Suède pour se familiariser avec leur nouvelle acquisition. Mais les Chinois ont trouvé que les Suédois leur fournissaient des informations trop simplistes. L’un des hauts responsables de Geely a exprimé son mécontentement lors d’une réunion avec les dirigeants de Volvo : « Pensez-vous que nous sommes une bande d’amateurs ? » avant de quitter la réunion et de prendre le premier vol pour la Chine.

La Chine est réellement devenue le centre de gravité de l’économie mondiale. Le Centre d’Analyse Economique a rendu public un rapport dirigé par Patrick Artus sur l’émergence de la Chine (pdf). Vous y trouvez notamment en page 14 ce graphique montrant l’évolution des exportations vers la Chine de la part de l’Allemagne, la France, l’Espagne et l’Italie. L’écart entre l’Allemagne et les trois autres pays se passe de commentaire :

Interculturalité et cohésion sociale

Le Monde se fait l’écho des mesures que s’apprête à prendre l’Allemagne pour faciliter le recrutement de diplômés étrangers. Les professions concernées sont les ingénieurs et les médecins. Les informaticiens ne sont pas concernés alors qu’il y aurait 29 000 emploies vacants dans cette profession. Si le gouvernement allemand ne réagit pas maintenant, il manquera 250 000 travailleurs qualifiés en 2020. Le débat se déplace à présent vers le seuil minimum de revenus exigés pour qu’un étranger non communautaire puisse s’installer en Allemagne (de 66 000 euros actuellement, il pourrait passer à 40 000)

A Paris, les Chinois du quartier de Belleville (XXe) ont manifesté pour la deuxième année consécutive contre l’insécurité. Ils étaient plusieurs milliers à protester contre les agressions dont ils sont régulièrement victimes. Rappelons que dans le quartier de Belleville cohabitent trois grandes communautés, les Chinois, les Maghrébins et les Sub-Sahariens. Une telle mobilisation est unique dans la capitale et mériterait un traitement plus développé par la presse française.

Par la presse ou… par le cinéma. L’Allemagne connaît actuellement le succès de plusieurs films de réalisateurs des deuxième et troisième générations d’immigrés turcs. Ils s’attaquent frontalement mais par l’humour aux conflits culturels entre Turcs et Allemands. Vous lirez sur ce sujet avec intérêt l’article des Inrocks Le succès du cinéma turc en Allemagne relance le débat sur l’immigration alors même qu’il y a en Allemagne le même climat de crispation sociale qu’en France autour de l’identité nationale et de la place des immigrés.

Et si l’effort pour l’intégration des immigrés devait commencer au plus jeune âge, voire à la maternelle ? En janvier 2010, The Economist a publié un reportage sur l’expérience suédoise : Starting them young. Il évoquait le cas d’une maternelle de 85 enfants dont seulement 3 parlaient suédois. L’objectif de l’école est d’inculquer le plus tôt possible aux enfants les règles et le comportement social de Suède. Les parents ne sont pas oubliés, ils reçoivent également des enseignements sur la culture suédoise. Fin 2010, une nouvelle politique devait être mise en œuvre et qui consiste à payer les immigrés pour suivre des cours de langue à plein temps, des cours d’orientation civique et des formations professionnelles, le tout durant les deux années qui suivent l’obtention de leur permis de résidence.

Des Chiniens ou des Autrichois ?

Enfin, dans la version anglophone du Spiegel, vous lirez avec amusement cet article: Xeroxed Village – Chinese Secretly Copy Austrian UNESCO Town. Les habitants de Hallstatt, village typique autrichien en bordure d’un lac, viennent de réaliser avec stupéfaction que les Chinois auraient décidé de le copier à l’identique dans la province de Guangdong. La copie comprendrait l’église de Hallstatt, mais aussi son lac. Ce ne serait pas la première copie d’un patrimoine urbain : la ville d’Anting a créé un quartier typiquement allemand avec une architecture Bauhaus et une fontaine avec des statues de Goethe et Schiller. A Chengdu, le visiteur peut admirer la copie de la ville britannique de Dorchester. A Shanghai, une église de 66 mètres de haut ressemble très fortement à la cathédrale de Bristol. Près de Shanghai se trouvent également une ville de style scandinave ainsi que les versions miniatures de Barcelone et Venise…

Les articles mentionnés dans cette revue de presse ont été partagés et discutés durant le mois de juin au sein du groupe de discussion « Gestion des Risques Interculturels » que j’anime sur LinkedIn (776 membres à ce jour). Soyez bienvenu(e) si ces questions vous intéressent!

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  • Vous pouvez consulter mon profil, la page des formations et des cours et conférences et me contacter pour accompagner votre réflexion.

Quelques suggestions de lecture:

4 Comments

  1. Merci pour cette revue de presse.

    concernant le retour d’expatriation, je vous invite à lire également le compte-rendu d’une webconférence très intéressante qui a eu lieu début juin sur ce thème :
    http://www.expatunited.com/user/rdvexpat.php?id=25&pad=podcast

  2. Benjamin PELLETIER

    Bonjour Florence, il semble que le lien ci-dessus ne soit pas le bon. Je suppose qu’il faut suivre plutôt celui-ci:
    http://www.expatunited.com/user/rdvexpat.php?id=24

  3. Si si, je confirme que c’est le bon, c’est le lien vers le compte-rendu, non vers l’inscription à la conférence.

  4. Benjamin PELLETIER

    En effet, désolé – et en tout cas merci bien pour cet intéressant compte-rendu qui vient compléter bien des éléments ci-dessus sur la gestion du retour d’expatriation.

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